mardi 31 mars 2015

« Les cendres froides » de Valentin Musso

Résumé :

Lorsque le grand-père d’Aurélien Cochet décède, celui-ci découvre une facette de sa famille qu’il ignorait jusqu’à présent : l’aïeul qu’il admirait tant aurait travaillé dans une maternité nazie accueillant des jeunes femmes enceintes de SS.
Simultanément, une octogénaire décède lors d’un apparent cambriolage.
Aidé d’Héloïse, une universitaire en contact avec le grand-père d’Aurélien avant sa mort, le jeune professeur va mener l’enquête sur l’héritage familial.



Mon avis :

J’ai vraiment beaucoup apprécié ce roman de Valentin Musso, auteur que j’ai découvert dernièrement et qui décidément me plaît beaucoup.
L’histoire est captivante, l’aspect historique est bien amené et bien traité, l’auteur sait très bien mêler l’Histoire au polar.
Les pages se tournent toutes seules grâce au style fluide et agréable de Valentin Musso.
Les personnages ne sont pas charismatiques mais ils sont humains et réalistes.
L'enquête est bien construite.
Le moment de lecture est très bon.


Lu en : 2 jours.

« Le samouraï qui pleure » de Laurent Scalese

Résumé :

Des meurtres particulièrement atroces ont lieu à Paris. Déguisés en suicides, ils ne trompent pas Elie Sagane, lieutenant de police aguerri, aidé de Sarah, criminologue spécialiste de l’Asie. Sur la piste de la mafia japonaise, l’enquête s’annonce particulièrement piégeuse.







Mon avis :

J’ai aimé le style de l’auteur, même si j’ai eu du mal à adhérer à l’univers japonais décrit avec minutie tout au long du roman.
L’écriture fluide fait que le livre se lit facilement et que l’on est vite dans l’histoire.
L’auteur a construit le personnage d’Elie Sagane, flic expérimenté, de manière à en faire un élément central du scénario qui ne laisse pas indifférent.
Je n’ai pas trouvé l’intrigue passionnante, mais l’auteur me semble avoir du potentiel.


Lu en : 2 jours.

dimanche 29 mars 2015

« Le sang des Atrides » de Pierre Magnan

Résumé :

Les meurtres de cyclistes s’enchaînent régulièrement dans la ville de Digne. Le commissaire Laviolette est sur la piste de celui qui les tue avec un galet. Amené à collaborer avec le juge Chabrand, il est déterminé à trouver le coupable s’il veut pouvoir rester en poste à Digne.







Mon avis :

Ce roman policier a gagné le prix du Quai des Orfèvres 1978.
J’ai été quelque peu déroutée par le style d’écriture de l’auteur et ai eu un peu de mal à m’y habituer.
Le personnage principal, le commissaire Laviolette, n’a rien du héros d’un polar. Il ne tient pas à se mettre en avant, il veut plutôt rester tranquille dans la ville qu’il aime tant mais il ne cesse pourtant de mener l’enquête en réfléchissant, quitte à prendre le temps pour cela.
L’enquête se déroule sur plusieurs mois. Elle avance peu, doucement, je regrette ce manque de rythme qui a accompagné la lenteur de l’enquête.
La dernière partie du roman s’accélère un peu et l’histoire devient enfin intéressante. Je ne peux pas dire que j’ai passé un moment de lecture excellent, mais le dénouement reste bien trouvé.


Lu en : 5 jours.

« J’attraperai ta mort » de Hervé Commère

Résumé :

Paul Serinen est un voleur particulièrement futé et audacieux. Il a réussi quelques gros coups et a décidé de se reposer à Etretat où il a fait enterrer un diamant sous sa véranda. Mais le diamantaire à qui il a dérobé la pierre ne l’entend pas de cette façon.







Mon avis :

La première partie du livre met en scène Paul Serinen, voleur de haut niveau, qui possède une technique permettant de faire travailler pour lui des personnes qui ne se connaissent pas, dans l’objectif de récupérer des magots de valeur inestimable.
J’ai trouvé cette partie très lente, à la limite de l’ennui. Elle manque de rebondissements et m’a semblé très narrative.
En revanche, la suite du livre m’a beaucoup plu. Les pages se sont tourné toutes seules, je n’osais pas croire aux rebondissements, un vrai régal. Je n’ai pas regretté d’avoir continué ma lecture.
La construction de l’intrigue, qui se déroule sur plusieurs années, est de grande qualité.


Lu en : 5 jours.

dimanche 15 mars 2015

« Code 93 » de Olivier Norek

Résumé :

Victor Coste est capitaine de police dans le 93 depuis quinze ans. Il a mené de nombreuses enquêtes mais celle qu’il s’apprête à diriger est dangereuse pour lui : un cadavre émasculé se réveille sur la table d’autopsie, un jeune toxicomane s’est auto-enflammé. Lorsqu’il reçoit des lettres portant le « code 93 », Coste est amené à découvrir quelques secrets de sa hiérarchie.






Mon avis :

Le début de ce livre m’a complètement captivée. L’auteur étant policier, il décrit avec un réalisme génial le déroulement d’une enquête policière et l’ambiance au sein d’une équipe d’un commissariat du 93. Le style d’écriture est fluide, direct et d’une efficacité redoutable.
Olivier Norek instaure la dose suffisante de suspense, d’action et d’humour pour tenir en haleine le lecteur et je dois admettre que je me suis laissée prendre au jeu avec plaisir.
Les personnages ont des caractères bien trempés, la complicité et la solidarité qui les lient permettent de faire avancer l’intrigue.
Le dénouement m’a semblé banal par rapport aux premiers chapitres. Il n’en reste pas moins que le moment de lecture est excellent et que je suivrai cet auteur de près.


Lu en : 5 jours.

« Et ils oublieront la colère » de Elsa Marpeau

Résumé :

Durant l’été 2015, un professeur, Mehdi Azem, est retrouvé mort près d’un lac. Garance Calderon est la gendarme chargée de l’enquête. Persuadée que le décès de Mehdi Azem est lié à la tonte de Marianne, jeune femme de caractère, qui a eu lieu durant l’été 1944, Garance creuse le passé, retrouve la famille de Marianne, au risque de créer quelques inimitiés et de déterrer des secrets de famille.





Mon avis :

J’ai beaucoup apprécié ce roman qui alterne les passages se déroulant en 1944 et en 2015. L’aspect historique qui imprègne l’intégralité du roman est très bien traité. La jonction entre les deux périodes se fait de manière naturelle.
Elsa Marpeau fait du personnage principal, la gendarme Garance Calderon, une enquêtrice attachante, profondément humaine, presque poétique.
Les pages s’enchaînent rapidement, de manière très fluide. Ce roman est assez différent des autres écrits d’Elsa Marpeau qui se renouvelle avec brio.


Lu en : 3 jours.

« Blueberry Hill » de Fredrik Ekelund

Résumé :

« Blueberry Hill » est une zone de squats située sur un chantier naval désaffecté à Malmö. Une bande de SDF a investi les lieux, ce qui déplaît fortement à de nombreux habitants du quartier. Lorsque des incendies se déclarent dans ce bidonville, Hjalmar Lindström et Monica Gren mènent l’enquête. Au fur et à mesure que leur histoire d’amour grandit, ils sont sur la piste d’un groupuscule néonazi particulièrement dangereux.





Mon avis :

J’ai beaucoup apprécié cette deuxième enquête de Hjalmar Lindström et de Monica Gren. Outre l’enquête, intéressante et bien menée, comme dans le premier opus Le garçon dans le chêne, l’auteur aborde une réflexion tout à fait pertinente sur l’exclusion sociale de personnes qui avaient auparavant un foyer et un métier. Ce thème est évoqué avec intelligence, dans un pays où la solidarité est perçue comme forte, de même que la tolérance.
L’équipe d’enquêteurs formée par Hjalmar et Monica a pris de l’importance. L’histoire d’amour qui les unit n’a rien de niais, j’ai apprécié que l’auteur évite cet écueil.
Fredrik Ekelund a une réelle capacité à montrer l’humanité, à travers ses qualités et ses défauts, dans chacun de ses personnages.
Le dénouement est classique mais je ne l’avais pas deviné.
J’attends de lire avec impatience « Casal Ventoso », la suite des enquêtes de Hjalmar et de Monica.


Lu en : 2 jours.

samedi 14 mars 2015

« Le convoyeur du IIIème Reich » de CJ Box

Résumé :

Paul Parker est un avocat qui s’apprête à sortir son chien. Sur le pas de sa porte, deux hommes l’embarquent à bord d’un pick-up, en direction d’une maison perdue au milieu de nulle part. Paul reconnaît ses ravisseurs, Lyle et Juan, puisqu’il a gagné un procès contre le grand-père de Lyle. Lors du trajet, les langues se délient.






Mon avis :

Cette courte nouvelle se lit très vite et très bien. Dans un style complètement différent des écrits habituels de CJ Box, le scénario historique est toutefois intéressant et comporte une petite dose de suspense agréable.
Cette nouvelle met en scène le petit-fils d’un homme dont l’ancien associé l’a arnaqué et a par la suite fait fortune. Lyle, le petit-fils, veut laver l’honneur de son aïeul et récupérer ce qui lui est dû.
Paul Parker est quant à lui persuadé que Lyle a une confiance aveugle envers son grand-père et qu’il n’a pas bien intégré tous les tenants et les aboutissants.
Tout au long du trajet, Paul comprend que Lyle n’entendra pas raison. Et pour cause, le dénouement de la nouvelle est très surprenant à la fois pour Paul et pour le lecteur.
Le moment de lecture est plutôt agréable.


Lu en : 1 jour.

« Imagine le reste » de Hervé Commère

Résumé :

Karl et Fred sont deux amis de très longue date. Ils se font voler leur voiture qui contient un sac contenant lui-même deux millions d’euros. Le propriétaire du sac est bien déterminé à le récupérer. Pendant ce temps, Nino, chanteur d’un groupe à succès, a disparu du jour au lendemain.







Mon avis :

J’ai mis du temps à rentrer dans l’histoire de ce roman, trop lent à démarrer à mon goût.
Le genre de ce livre est difficilement définissable : ce n’est ni un thriller, ni un polar, ni un roman noir, ni un roman d’enquête et pourtant, il y a une dose de chaque dans « Imagine le reste ».
Le scénario est bien construit, à l’image d’une belle boucle où le dénouement est très bon. Une lecture attentive est toutefois nécessaire pour profiter de toute l’intelligence de la construction.
Hervé Commère dépeint quelques personnages intéressants, comme Marcel, un veuf qui a beaucoup réfléchi sur la vie, contrairement aux apparences. L'amitié de Karl et Fred, une amitié qui frôle la fraternité, est aussi bien abordée.
Malgré quelques beaux passages comportant de belles réflexions sur la vie, je n’ai pas réussi à vraiment accrocher.


Lu en : 2 jours.

dimanche 8 mars 2015

« Echanges » de Danielle Thiéry

Résumé :

La commissaire Edwige Marion a repris le travail, après avoir été opérée à la suite de blessures par balles à la tête qui lui ont laissé des séquelles particulières. En effet, elle est victime d’hallucinations et de pulsions sexuelles inexpliquées. Mais Marion n’est pas encore sur le terrain. Elle est chargée de reprendre de vieilles affaires non élucidées. A cette occasion, elle croit faire le lien entre la disparition actuelle d’un enfant de 5 ans et une enquête qu’elle a menée il y a 20 ans. Son ancienne équipe, composée de Valentine Cara et de Luc Abadie, n’est pas facile à convaincre.



Mon avis :

Cette enquête de la commissaire Edwige Marion m’a laissée perplexe et m’a un peu déçue, alors que je l’attendais avec impatience.
J’ai beaucoup apprécié la qualité de la construction de l’intrigue, les rebondissements, l’action, la technique policière bien retracée ainsi que la psychologie du coupable.
Je regrette par contre le manque d’humour et la solennité qui se dégage par moments à travers certains passages.
L’auteur fait clairement ressentir l’affaiblissement de Marion. Je n’ai pas lu les ouvrages précédant sa blessure à la tête et je pense qu’ils sont à lire pour comprendre l’évolution du personnage qui donne l’impression d’être très différente d’avant, avec un dynamisme moins prononcé mais une intuition toujours aussi brillante. Je ne parviens pas à m'attacher au personnage principal.
Je continuerai à lire les enquêtes d’Edwige Marion, curieuse de voir évoluer cet excellent policier.


Lu en : 5 jours.

« Froid mortel » de Johan Theorin

Résumé :

Lorsque Jan Hauger intègre la Clairière en tant que puériculteur, il ignore tout du fonctionnement de ce centre qui a pour particularité de veiller sur les enfants de patients de l’hôpital psychiatrique qui se situe juste à côté. Il a notamment pour mission de veiller au bon déroulement des rencontres organisées entre les enfants et les patients, dont l’identité est autant mystérieuse que passionnante pour Jan.





Mon avis :

Le scénario original de ce livre m’a permis de passer un très bon moment de lecture. Il est rare d’avoir un personnage principal au passé aussi mystérieux que celui de Jan Hauger, que l’on soupçonne de certaines choses, sans trop savoir lesquelles précisément. Au fur et à mesure, le mystère prend de l’importance, jusqu’à un dénouement particulièrement difficile à anticiper, où le passé et le présent se rejoignent.
Sans être très attachant, le personnage principal est intéressant à suivre. L’auteur laissant peu de place aux personnages secondaires, il était risqué de centrer l’intrigue sur Jan Hauger, mais le pari me semble réussi. Le lecteur se demande quasiment tout le temps pourquoi ce jeune puériculteur se montre si déterminé à pénétrer dans l’hôpital psychiatrique d’à côté.
Je regrette toutefois que l’intrigue n’ait pas plus fait intervenir les patients de l’hôpital psychiatrique, certaines scènes de violence ou de folie auraient pu trouver leur place dans ce type d’ouvrage. L’auteur n’a toutefois pas choisi cette direction.
L’écriture de Johan Theorin, que je découvre avec de thriller, est d’une fluidité impressionnante. Les pages se tournent toutes seules. Johan Theorin est un auteur que je vais suivre.


Lu en : 2 jours.

lundi 2 mars 2015

« Transfixions » de Brigitte Aubert

Résumé :

Bo’ est un travesti qui aime passionnément Johnny, mais Johnny ne l’aime pas. Des meurtres particulièrement sanglants se multiplient dans l’entourage de Bo’ qui finit par être soupçonné par la police. Pour se défendre, Bo’ mène sa propre enquête.







Mon avis :

Avec « Transfixions », j’ai enfin retrouvé le style et la qualité d’écriture qui me manquaient dans les derniers romans que j’avais lus de Brigitte Aubert.
L’intrigue est solide, bien menée, elle comporte des rebondissements bienvenus.
Le personnage principal, Beaudoin alias Bo', est particulièrement touchant. Dès les premières pages, le lecteur ne peut que s’attacher à ce travesti prêt à tout supporter pour attirer l’attention de celui qu’il aime. En effet, Bo’ supporte la violence, l’humiliation, les déceptions et en retour, Johnny lui accorde à peine un regard. Certes il s’agit d’une fiction, mais il n’en reste pas moins que l’auteur parvient à évoquer en filigrane des questions telles que la tolérance, la différence, la difficulté de s’accepter. Et je ne doute pas que de nombreuses personnes travesties ont déjà vécu certaines situations rencontrées par Bo’.
Brigitte Aubert fait encore preuve de réalisme lorsqu’elle relate l’enquête menée par Bo’, dans la mesure où justement, Bo’ n’a pas de ligne directrice claire lorsqu’il enquête. Ce sont plutôt les évènements qui ont lieu autour de lui qui l’amènent à s’interroger sur l’identité d’un meurtrier très cruel. Il m’aurait semblé irréaliste qu’une personne dans la situation de Bo’, c’est-à-dire précaire, parvienne à garder les idées claires pour faire le travail de la police.
Le moment de lecture m’a paru très bon, il me permet de renouer avec Brigitte Aubert.


Lu en : 2 jours.

dimanche 1 mars 2015

« Sara la noire » de Gianni Pirozzi

Résumé :

Guillermo est un flic impliqué dans divers trafics. Hanté par la disparition d’une enfant il y a plusieurs années, il a fait la promesse à ses parents de la retrouver. Lorsqu’il a fait la rencontre d’une brillante étudiante marocaine, Hafzia, il en est vite devenu accro, au point d’être prêt à tout pour la protéger de son mari violent. Mais il doit aussi lui-même se protéger de Djibril, qui a accepté de régler son compte à Guillermo, contre beaucoup d’argent.




Mon avis :

Ce roman de Gianni Pirozzi est noir. Très noir. Il m’a fait penser, par moments, au brillant La faux soyeuse, d’Eric Maravélias.
Peu de personnages sont présents dans ce roman, mais chacun a une histoire personnelle très dure. J’ai trouvé celle d’Hafzia particulièrement triste et touchante ; c’est l’histoire d’une brillante étudiante marocaine venue en France avec beaucoup de rêves mais aussi d’illusions. Elle se marie avec un homme particulièrement violent, vit l’enfer de la drogue et s’éloigne peu à peu de son idéal de vie.
Le personnage de Guillermo est peut-être le plus noir : un flic pourri, violent, impliqué dans des trafics mais aussi très marqué par la disparition d’une enfant il y a de cela plusieurs années. Le roman est bien plus axé sur les trafics dans lesquels trempe Guillermo que sur ses enquêtes. C’est en cela que Guillermo n’a de flic que la carte.
Le style de l’auteur est original, j’ai eu un peu de mal à m’y faire. Comme avec tout roman noir que je lis, il me faut un certain temps avant de rentrer dans l’histoire.
Sans trouver ce roman sensationnel, je dois toutefois en reconnaître la qualité.


Lu en : 2 jours.

« Apnée noire » de Claire Favan

Résumé :

Depuis que le lieutenant Sandino a perdu sa femme et sa fille lors d’un braquage qu’il n’a pas pu contrôler, il a sombré dans l’alcool. Seul le capitaine Red Grier continue de le protéger et de vouloir l’aider.
Megan Halliwell est un agent du FBI dont l’ambition est forte. Elle a permis l’arrestation d’un tueur psychopathe qui vient d’être exécuté, Vernon Chester.
Mais lorsque le meurtre récent d’une jeune femme correspond étrangement au même mode opératoire que Chester, le doute s’installe sur la véritable culpabilité de celui qui a été condamné.
Vince Sandino et Megan Halliwell font équipe pour percer le mystère.

Mon avis :

J’ai passé un moment de lecture génial avec ce thriller au suspense et au rythme haletants. L’intrigue est tout simplement captivante. Le style est fluide et d’une efficacité redoutable.
L’auteure parvient à construire un scénario très bien ficelé, tout en accordant une importance à la psychologie des enquêteurs. Ceux-ci sont très attachants, à la fois brillants dans leur domaine et fragiles dans leur histoire personnelle. Le duo qu’ils forment est intéressant sans être à aucun moment cliché.
Quant au dénouement, il est particulièrement difficile à deviner (voire impossible pour ma part).
Ce roman m’a donné envie de découvrir les autres ouvrages de Claire Favan, dont j’avais lu et entendu beaucoup de bien. Je comprends désormais le pourquoi de tous ces éloges.


Lu en : 3 jours.