Résumé :
Le superintendant
Mark Burstyn, exclu de la police, vit désormais à Paris. Alcoolique et seul,
seule la fille de son ami Clarence Cooper lui donne le sourire. Amené à revenir
en Angleterre, il retrouve Clarence, chargé d’une enquête sur des viols commis
dans un orphelinat.
Mon avis :
Comme
d’habitude avec Michaël Mention, difficile d’être déçu.
Ce
roman vient clôturer sa trilogie anglaise et le moins que l’on puisse dire, c’est
que l’auteur nous aura fait traverser plusieurs épreuves !
C’est
noir, c’est cru, c’est réaliste. Le style est incisif, précis, chaque mot est
bien choisi.
La
structure du roman est solide. On ne peut que deviner et apprécier la réflexion
de l’auteur et son intelligence.
Le
contexte économique et social est bien ancré.
L’auteur
ne passe aucun détail sur le délabrement du personnage principal qu’est Mark
Burstyn. C’en serait presque dérangeant.
Mais
qu’importe, cette trilogie ne s’oublie pas.
Lu en : 2 jours.
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