Résumé :
Mémé Cornemuse a
trouvé un emploi de concierge dans un immeuble. Bien décidée, avec son ami Jef,
à faire le casse du siècle dans la bijouterie d’à côté, ses plans sont
contrariés par l’arrivée dans le quartier d’une criminelle qui attire les
journalistes. Simultanément, Ginette, l’une des habitantes de l’immeuble,
découvre son mari Marcel mort, les mains coupées, en rentrant d’une escapade où
elle s’est achetée des chaussures jaunes et a trompé son époux. Ginette mène l’enquête.
Mémé Cornemuse l’aide, à sa manière.
Mon avis :
Les
livres de Nadine Monfils sont de manière générale l’occasion de passer un très
bon moment. « La vieille qui voulait
tuer le bon dieu » ne fait pas exception, même si je l’ai trouvé un
ton légèrement en-dessous de « Les
vacances d’un serial killer », qui faisait la part belle à des
personnages caricaturaux mais très drôles.
Ici,
un peu moins d’humour, plus de noir, mais un cocktail explosif sympathique.
Je
n’ai pas lu le deuxième épisode des aventures de Mémé Cornemuse, « La petite fêlée aux allumettes »,
je ne suis pas certaine que la lecture dans l’ordre soit nécessaire. Tant mieux
car je n’aime pas rater un épisode.
L’intrigue
du roman est plus policière que « Les
vacances d’un serial killer » dans la mesure où Ginette essaie tant
bien que mal de mener une enquête crédible sur la mort de son mari. Cette quête
du coupable donne un côté sérieux au livre que je ne regrette pas.
Mémé
Cornemuse reste un personnage à part entière qui parvient à être aussi
détestable qu’attachante. Un exploit !
Lu en : 1 jour.
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