Résumé :
Madame Préau est
une ancienne directrice d’école à la retraite. Elle mène une vie tout à fait
banale. Lorsque de nouveaux voisins s’installent dans la maison d’à côté, elle
se rend compte que parmi les trois enfants, l’un d’entre eux semble victime de
maltraitance. Elle alerte les services sociaux et la police, mais personne ne
la croit : ce petit garçon n’existe pas.
Mon avis :
J’ai
lu ce roman d’une traite ; le style d’écriture est fluide. J’ai remarqué
que l’auteur cherchait à perdre son lecteur en utilisant des tournures telles
que « L’homme… » pour, dans la phrase d’après, nommer ce personnage
récurrent du roman. Je n’ai pas très bien saisi l’intérêt de cette façon de
faire, mais cela n’entache pas du tout la qualité du roman.
Au
fur et à mesure que les pages se tournent, le lecteur ne cesse de s’interroger
sur cette fameuse Madame Préau dont le personnage cristallise toutes les
questions : a-t-elle toute sa tête ? Quel est son passé ?
Je
m’attendais à ce qu’elle mène une enquête, façon Jane Marple, mais ce n’est pas
vraiment le cas. Pourtant, le suspense augmente au fil des pages, surtout dans
les dernières.
Le
moment de lecture est bon, je pense lire avec plaisir d’autres romans de Sophie
Loubière.
Lu en : 1 jour.
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